Leçon de survie n°1 : la raquette anti-moustiques
L'arme absolue.
Autant les moustiques ont développé de solides résistances aux produits chimiques, à la citronelle et autres subterfuges, autant ils n'ont pas encore trouvé la parade à la décharge électrique.
Ce n'est ni un moyen de prévention, ni LA solution à des jambes tranformées en piqure de moustique géante.
Cela ne remplace ni la moustiquaire imprégnée, ni le produit chimique que nous nous apliquons quotidiennement et consciencieusement sur la peau.
Malgré la technicité tennistique que sa pratique requière, cela ne remplace pas non plus les 30 minutes de marche rapide par jour.
Cette pratique barbare peut aussi révolter les âmes sensibles et autres fervents défenseurs de la cause animale. A ceux-là, je demanderai de ne pas lire les lignes qui suivent.
Ces premiers avertissements passés, nous pouvons entrer dans le vif du sujet.
Repérer un moustique, voire toute une colonie de femelles assoifées de sang.
Courir vers la raquette.
S'en saisir. L'empoigner fermement.
Regarder le moustique en face. Lui signifier que sa dernière heure est arrivée (oui, le procédé est peut être barbare mais nous tentons d'humaniser au maximum nos méthodes).
Tendre le bras et, dans un coup droit parfait (voir un smash, tout dépend de la position du susdit moustique), diriger le centre du tamis vers lui.
Dans une explosion d'étincelles bleues et un dernier râle, le moustique s'effondre.
Terrassé.
Qu'est-ce que c'est bon !!
A la maison c'est spectacle pyrotechnique et cris de joie sauvages tous les soirs !
Plus jamais sans notre raquette.
Sans compter que son design très élégant et racé nous permet de l'emmener sans soucis aux petites sauteries de Monsieur l'Ambassadeur.
Un dernier argument en sa faveur : elle est écologique puisqu'elle se recharge sur le secteur ! Exit les piles.